
Osteopathic Medicine Academy sous titre Italien
Extraits de mon livre "La statique et ses secrets"
II/ Mécanisme du lumbago de soulÚvement.
A- Généralités.
Une grande partie des maux que nous avons Ă traiter dĂ©coule dâun effort de soulĂšvement prĂ©tendument excessif, rĂ©alisĂ© par nos Patients. « Jâai fait un faux mouvement » racontent- ils. Ou encore, nous constatons au cours de lâinterrogatoire, quâil y a eu par le passĂ©, le soulĂšvement dâune charge, pĂ©riode dĂ©cisive initiatrice dâune sĂ©rie de lumbagos aigus rĂ©currents ou encore une lombalgie chronique. Ces derniĂšres douleurs pouvant encore sâĂ©tendre au reste du rachis avec lâĂąge oĂč- et- avec le temps.
La cause de la frĂ©quence de ces troubles dĂ©coule au dĂ©part dâun malentendu trĂšs ancrĂ© dans la mĂ©moireDe tous temps les modes ont apprĂ©ciĂ© les individus aux dos droits et abhorrĂ© les dos voĂ»tĂ©s.
Bref, Les canons de la beautĂ© nous conduisent Ă prĂ©fĂ©rer les personnes qui se tiennent bien droites plutĂŽt que lâinverse.
En fait, câest cette injonction du : « tiens-toi droit » aura Ă©tĂ© Ă lâorigine involontaire de plusieurs gĂ©nĂ©rations de lombagos de soulĂšvement comme nous allons lâanalyser.
B-Indice de Delmas.
Il sâagit du rapport entre la longueur quâun rachis peut dĂ©velopper en Ă©tirement (de C1 au sacrum) et cette mĂȘme mesure au repos.
Un rachis fixĂ© en attitude dâextension (tension), impose une adaptation lombaire et cervicale et inverse leurs courbes, ce qui induit par une perte de mobilitĂ© de lâensemble.Cette rigiditĂ©, fragilise le rachis car le respect des courbes physiologiques le rend plus adaptables aux diffĂ©rentes sollicitations. Lâattitude du rachis dorsal Ă la courbe inversĂ©e modifie le rapport tension/ pression et rend la situation statique fragile et propice aux dĂ©placements, le rachis cervical et lombaire sâinversent. Dans cette situation, le dos est bloquĂ©. Il ne peut sâincliner latĂ©ralement, se placer en extension ni en rotation, sa seule possibilitĂ© demeure encore la flexion antĂ©rieure.
La conclusion de cet indice indique que les rachis aux courbes effacĂ©es sont rigides et dâautant plus fragiles.
C-Mécanisme inducteur de la lésion.
Classiquement, toutes les institutions officielles reprĂ©sentĂ©es par la mĂ©decine du travail conseillent lors du soulĂšvement dâune charge de:
-Se rapprocher le plus possible de lâobjet Ă soulever en Ă©cartant Ă©ventuellement les genoux si celui-ci est posĂ© au sol (afin, trĂšs justement, de limiter la prĂ©sence dâun long bras de levier qui accroĂźtrait dâautant le poids de la charge).
- Tenir le buste droit, dos plat.
- Se pencher en avant pour empoigner ou étreindre la charge.
- Ăviter dâeffectuer des mouvements de rotation du buste durant le transport en se retournant uniquement Ă lâaide des jambes.
- Soulever enfin cette charge, le dos Ă©tant maintenu droit il y a inversion des courbes du rachis et fragilisation de lâensemble.
D-Analyse du mouvement.
Comme nous avons pu le voir lors de lâĂ©tude des courbes dorsales, lâextension du rachis dorsal supprime tout mouvement autre que celui de la flexion. Si nous devions utiliser une image, nous pourrions dire que le rachis dorsal ne peut Ă©chapper Ă sa situation car il est bloquĂ©.
La cyphose dorsale est effacĂ©e, le dos est plat, parfois, selon les individus, Ă la limite de lâinversion ou dĂ©jĂ inversĂ©.
Cette position est majorĂ©e par la nĂ©cessitĂ© inconsciente de diminuer lâimportance du poids soulevĂ© en limitant autant quâil est possible, la surface du buste soumise Ă la pesanteur.
Car deux options sâoffrent alors:
1/ Courber le rachis en avant en baissant la tĂȘte, ce qui nâest pas permis par les rĂšgles conventionnelles qui imposent de garder le dos droit.
2/ Ou bien, effectuer une inversion de courbe dorsale antĂ©ro postĂ©rieure, en inclinant la tĂȘte en arriĂšre aprĂšs avoir relevĂ© le menton. la surface offerte Ă la pesanteurest rĂ©duite et correspond mieux Ă lâimage classiquement imposĂ©e du « dos droit ». Câest ce qui est effectuĂ© le plus souvent.
E-Lors du soulÚvement proprement dit, le dos étant plat.
1/ Avant que le poids ne dĂ©colle du sol, celui - cidemeure encore un point fixe et, le point mobile demeureencore Ă ce moment le rachis dorsal sur lequel sâexerce un ultime mouvement dâextension. Ce mouvement majore au maximum la contrainte du rachis.La zone dorsale se trouve alors Ă la limite de ses possibilitĂ©s physiologiques. La butĂ©e des apophyses articulaires et des apophyses Ă©pineuses ne permettent plus aucune augmentation de mobilitĂ© en extension.
2/ Lors de la manĆuvre de soulĂšvement proprement dite,le rachis dorsal subit la traction exercĂ©e par le poids, dĂ©passe son seuil physiologique et se place en hyper extension. La cyphose dorsale sâest inversĂ©e dans une attitude lordosante. Le dos naturellement en tension, se trouve alors en pression. Les rapports tension/pression sont nĂ©cessairement inversĂ©s. Les courbes cervicales et lombaires ont tendance Ă passer de la position de pression en position de tension en sâinversant par adaptation. Ceci explique la prĂ©sence de cyphose lombaire dans les lumbagos aigus.
3/ La vertÚbre située au sommet habituel de la cyphose, généralement aux environs de la 7° vertÚbre thoracique, soumise à cette force contraignante antéro postérieure, glisse en avant lors des derniers degrés du mouvement.
4/ Le dĂ©placement de la rĂ©gion mĂ©dio dorsale crĂ©e un report de force immĂ©diat sur le point dâappui sacrĂ© (selon le principe dâengrenage de roues dentĂ©es). Les derniĂšres vertĂšbres lombaires subissent toute la force de pression Ă©manant du dĂ©sĂ©quilibre sus jacent. Un blocage lombaire ou sacrĂ© ou encore sacro iliaque sont ainsi induits dans un ultime mouvement de compensation. Les disques intervertĂ©braux subissant des efforts de pression/ torsion importantes comprimĂ©s subissent un blocage circulatoire, puis lâĆdĂšme et enfin la douleur qui en rĂ©sulte. (Fig.36).

Figure 36. Plus le rachis est droit, moins il offre de surface Ă la pesanteur ce qui implique lâadoption dâune attitude posturale rĂ©flexe en position rigide ou dâextension lors du soulĂšvement dâun poids.
5/ Discussion.
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Une lĂ©sion est induite lorsquâil y a eu dĂ©passement du seuil de rĂ©sistance du rachis.La rapiditĂ© et lâintensitĂ© de lâadaptation de lâensemble des vertĂšbres vers le haut et le bas seront relatives Ă leur souplesse. La douleur lombaire se manifeste tout ou tard par la faillite des moyens dâadaptation. Le patient Ă©voque souvent lors de son interrogatoire, cet Ă©pisode oĂč il a le souvenir dâavoir effectuĂ© autrefois un effort dans une attitude correcte ou non.
Un dĂ©sĂ©quilibre adaptĂ© ou non, est toujours prĂ©sent. La lĂ©sion vertĂ©brale sâeffectuant toujours dans les trois plans, les compensations se manifestent par un mouvement adaptatif vers le haut et vers le bas. Une attitude en torsion de lâensemble du rachis se manifeste niveau lombaire par un verrouillage de la rĂ©gion lombaire basse sur le point fixe sacral. Bien que le sacrum puisse se placer en relative attitude dâadaptation il demeure toutefois un puissant point dâappui.
Lâinversion des forces de tension/ pression ayant induit une adaptation des rachis cervical et lombaire, la rĂ©duction de leurs rayons de courbe diminue dâautant leur adaptabilitĂ©.
La rĂ©duction significative des mouvements de lâensemble de la colonne vertĂ©brale contribuera ainsi Ă fragiliser ces rĂ©gions.
De plus, lorsquâil advient que la composante de la lĂ©sion dâadaptation du rachis est antĂ©riorisĂ©e par rapport Ă la courbe dorsale naturelle, les compensations vertĂ©brales sus et sous-jacentes concourent Ă leur tour Ă maintenir en place lâinversion de courbe. Le rachis dorsal nâest plus en pression, inversĂ©, il est placĂ© en tension. Dans cette situation, le rachis dorsal se comporte alors comme un arc dont la corde est reprĂ©sentĂ©e par les muscles postĂ©rieurs. Lâarc vertĂ©bral incurvĂ© en avant, aggrave encore la sĂ©vĂ©ritĂ© de la fixation.
Il est inutile de prĂ©ciser quâune tentative de correction des lombaires sâavĂšre le plus souvent dĂ©cevante.
7/Traitement.
La rĂ©duction de la vertĂšbre en lĂ©sion situĂ©e le plus souvent au sommet de lâinversion de courbe favorise aussitĂŽt un relĂąchement des tensions vertĂ©brales locales ainsi que de leurs adaptations au-dessus et au-dessous. Le repositionnement vertĂ©bral pourra ou non sâaccompagner du traitement des lĂ©sions secondaires mais la rĂ©solution complĂšte du dĂ©sĂ©quilibre ne pourra sâeffectuer que lorsque les tensions musculaires mĂ©dio dorsales qui tendent Ă maintenir le rachis en position antĂ©rieure auront Ă©tĂ© rĂ©duites.
III/ LES HERNIES DISCALES.
A-Définition.
La hernie discale est une protrusion ou une saillie qui se forme dans ses disques intervertĂ©braux comme consĂ©quence des dĂ©sĂ©quilibres de pression/tension, majorĂ©s par des efforts importants ou brusques ou rĂ©pĂ©titifs ou encore suite Ă un effort brutal de soulĂšvement. Elle est schĂ©matiquement reprĂ©sentĂ©e par la migration du nuclĂ©us pulposus en dehors de son emplacement anatomique. Cette partie centrale du disque, par le jeu de ces pressions, se fraie un chemin au travers de lâanneau fibreux en direction du canal vertĂ©bral.
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B-Etiologie.
Lâapparition dâune hernie sâeffectue en plusieurs Ă©pisodes. Si la dĂ©gĂ©nĂ©rescence du disque intervertĂ©bral commence Ă se manifester Ă lâĂąge de 25 ans, câest Ă lâoccasion de mouvements ou dâefforts rĂ©pĂ©tĂ©s sur un dĂ©sĂ©quilibre statique prĂ©alable, que lâaltĂ©ration du disque sâeffectue. Il existe plusieurs Ă©tapes durant lesquelles le noyau Ă©crasĂ© fuse vers lâextĂ©rieur.(Fig.37.)

Fig. 37. Sous le jeu des tensions/pressions, le nuclĂ©us pulposus est Ă©jectĂ© vers lâextĂ©rieur et en arriĂšre comme un noyau dâolive pressĂ© entre les doigts.
Cela se manifeste au niveau vertĂ©bral lombaire par une pression axiale anormale unilatĂ©rale exercĂ©e sur une partie rĂ©duite du disque lombaire ainsi que par une mise en tension sur lâautre partie.
Ce dĂ©sĂ©quilibre exercĂ© Ă ce niveau crĂ©e une usure et une dĂ©gĂ©nĂ©rescence discale fragilisant. Cette pression sâexprime la plupart du temps sur la partie antĂ©rieure et latĂ©rale du disque, la mise en tension se manifeste au niveau de la partie postĂ©rieure et latĂ©rale opposĂ©e. le tout aboutissant Ă la migration du noyau en arriĂšre et latĂ©ralement
Ceci occasionne la protrusion du disque et la compression des émergences nerveuses rachidiennes à ce niveau
IV Les Lésions des genoux.
Les gonalgies sont souvent dâapparition insidieuse et se produisent dans la plupart des cas,en lâabsence de traumatismes directs connus.Ces articulations sont parfois le siĂšge de lĂ©sions anciennes dont la cause peut paraĂźtre peu comprĂ©hensible. On se trouve dans ces cas parfois en prĂ©sence inattendue dâune arthrose Ă©voluĂ©e, dâun syndrome rotulien de cause mĂ©connue ou encore lâapparition de blocages mĂ©niscaux quasi spontanĂ©s.
La cause en est un dĂ©sĂ©quilibre hĂ©licoĂŻdal exercĂ© dans le sens de la pesanteur. Le vecteur de force a franchi la barriĂšre du bassin pour aboutir au- travers des membres infĂ©rieurs, au niveau du sol qui fait alors office de point dâappui rĂ©actionnel. (Fig.40.).

Figure 40. A partir dâun dĂ©sĂ©quilibre statique donnĂ©, il se produit un vissage de haut en bas induit par la pesanteur, dans un sens et une rĂ©action Ă la pesanteur de bas en haut dans lâautre sens.
Le mouvement descendant, rencontre une réaction à la pesanteur inversement proportionnelle réalisée en direction opposée.
Il est au centre dâun conflit entre un mouvement de vrille et un mouvement de dĂ©vrillage.
Lâarticulation la plus fragilisĂ©e est le genou car est situĂ©e dâune part entre lâarticulation robuste de la hanche et dâautre part le pied dont la soliditĂ© est renforcĂ©e par son appui au sol.
Cette dystatie plus ou moins latente constitue un Ă©tat de facilitation. Une subluxation du genou pourra se manifester de façon inopinĂ©e et brutale, comme par exemple, lors de la banale descente dâune marche dâescalier. Lâapparition de lâarthrose du genou rĂ©vĂšle frĂ©quemment lâĂ©volution a bas bruit de ce type de conflit.
Les Ă©lĂ©ments anatomiques de cette articulation en souffrance cĂšderont plus ou moins tardivement et de façon diffĂ©rente en fonction de sa laxitĂ©, du poids du sujet, de son activitĂ© physique, de lâanciennetĂ© de la lĂ©sion primaire et de sa distance.
Le cas le plus typique de cet exemple est celui de la luxation de la rotule chez les tempĂ©raments laxes qui fait objet frĂ©quent dâune indication chirurgicale.
Si les articulations et les muscles du bassin sont puissants, la force dâaction sera stoppĂ©e Ă ce niveau, rĂ©alisant un point dâappui, siĂšge dâun tremplin Ă partir duquel la rĂ©action repartira vers le haut.Cette butĂ©e sacrale pourra ĂȘtre frĂ©quemment Ă lâorigine dâune lombalgie.
La souffrance des articulations tibio tarsienne et les entorses rĂ©cidivantes de cette rĂ©gion sont Ă©galement le signe de contraintes opposĂ©es selon ce mĂȘme principe.
Le « syndrome rotulien ».
Il se traduit par un dĂ©calage latĂ©ral de la rotule est rĂ©alisĂ© par une tension en rotation du fĂ©mur dans un sens et par une rĂ©action en sens opposĂ© exercĂ©e sur le tibia. Le rĂ©sultat de ces forces contraires sâexerce dâune part sur le ligament (insĂ©rĂ© sur le plateau tibial) et dâautre part sur le tendon rotulien. La rotule disposĂ©e en situation intermĂ©diaire se trouve attirĂ©e dans sa partie supĂ©rieure dâun cĂŽtĂ©, et maintenue en tension en sens opposĂ© par le ligament dans sa partie infĂ©rieure.(Fig.41).

Fig. 41. Selon le principe dâaction/ rĂ©action Ă la pesanteur, le vissage subi par le genou subluxe la rotule crĂ©ant une souffrance ligamentaire, notamment au niveau des ailerons rotuliens.
Quelle que soit lâorientation du mouvement de rotation exercĂ©e (interne ou externe), un condyle recule lâarticulation tibiale, subissant un effort contraire exerce une rĂ©sistance. La rotule maintenue par le ligament et les ailerons rotuliens a quittĂ© partiellement le contact dâavec la poulie fĂ©morale et se trouve dĂ©saxĂ©e. Les mĂ©nisques qui subissent ces contraintes anormales pourront alors se fissurer ou se rompre.
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Nous comprenons aisĂ©ment que la section des ailerons rotuliens dans ce cas, ne peut constituer quâune solution palliative.
Les lĂ©sions manifestĂ©es au niveau de cette articulation quâil sâagisse de la plus anodine fissure mĂ©niscale, de rupture ligamentaire ou encore dâusure cartilagineuse plus ou moins avĂ©rĂ©e, en lâabsence de traumatisme local ont toujours sinon une origine, tout du moins une facilitation distale.
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Le traitement.
Il sâeffectuera, avant toute intervention directe au niveau de cette articulation aprĂšs que lâon ait trouvĂ© lâorigine du dĂ©sĂ©quilibre qui se trouve la plupart du temps, sous-jacente et plus rarement basse. Le repositionnement de la vertĂšbre en cause libĂšre le plus souvent lâarticulation du genou aucun autre traitement supplĂ©mentaire nâest alors parfois indiquĂ©.
Fort de ces principes il est possible dâĂ©viter une intervention chirurgicale programmĂ©e.
C-Etude du mouvement.
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LâĂ©lĂ©vation du bras lors de la mobilisation de lâĂ©paule nĂ©cessite comme toujours, la prĂ©sence de:
- Une force motrice : le muscle.
- Un bras de levier : lâomoplate.
- Un point dâappui : le rachis, les cĂŽtes, le sternum.
Quel que soit le plan dans lequel le bras sâĂ©lĂšve, les muscles extrinsĂšques, moteurs du mouvement, prennent appui sur le point fixe que constitue la colonne vertĂ©brale.
Lors de lâabduction, le rachis sâadapte de bas en haut, rĂ©alisant une scoliose Ă convexitĂ© homolatĂ©rale, de proche en proche, Ă lâimage dâun curseur ascendant. (Fig.42).

Figure 42 ; Lâadaptation du rachis, dans lâabduction conditionne la libertĂ© de ce mouvement.
Lorsque la courbe adaptative de lâabduction est bloquĂ©e par une lĂ©sion vertĂ©brale, un freinage Ă lâĂ©lĂ©vation se produit aussitĂŽt,la tension du muscle sus Ă©pineux sâaccroit majorĂ©e par la dĂ©multiplication du bras de levier de la scapula. Les calcifications retrouvĂ©es Ă ce niveau sont bien, du reste, lâexpression dâune tension chronique qui aura Ă©voluĂ©- ou non- Ă bas bruit..
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La rĂ©pĂ©tition quotidienne de ces mouvements (la clavicule est mobilisĂ©e10000 fois par jour), nĂ©cessite un effort nettement excessif du tendon du muscle sus Ă©pineux et est Ă lâorigine de son inflammation.
G-Traitement.
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Il consistera Ă repositionner la vertĂšbre qui bloque le parcours du curseur au cours de lâabduction.
Les articulations sterno chondrales ou chondro/ sternales sont aisĂ©ment repositionnĂ©es par une mĂ©thode directe, fonctionnelle ou fluidique avec lâassistance des mouvements respiratoires.